Devenir naturopathe #1

Confronter ses envies…

A la fin de l’année 2021, j’ai eu une révélation. Je voulais devenir naturopathe.

Mon parcours cahotique formait enfin un puzzle, comme par magie, là où quelques mois, voire semaines plus tôt, encore endolorie par un accident de vie sur lequel je reviendrai lorsque je le pourrai, j’étais incapable de formuler la moindre envie, encore moins de l’argumenter. Soudain, tout faisait sens, y compris tout le négatif subi et absorbé.

J’ai alors consacré le mois de janvier à confronter cette pulsion de reconversion aux réalités de ce métier aux contours multiples. En effet, devenir naturopathe ne s’improvise pas. Bien au contraire, cela exige un investissement personnel très conséquent, sans parler du temps et de l’argent. Il ne s’agit pas trop de faire fausse route … Quoique cela aurait aussi sûrement un sens 🙂

J’ai donc pris le temps de :

– Prendre des cours (Naturopathie familiale niveau 1 et 2, par Odile Chabrillac, fondatrice de l’INH)

– Identifier mon top 4 des écoles (Cenatho, Isupnat, EuroNature, INH), assister à leur JPO, réaliser mes dossiers d’inscription

– Participer à des « cliniques solidaires » dans 3 de ces 4 écoles afin de mieux sentir leur spécificités

– Parler à je ne sais combien d’anciens élèves fort généreux de ces écoles, et d’autres encore !

– Ecouter des podcast (Kinoa de Julie Coignet, Pleine Présence de Lili Barbery), suivre des cycles de conférences (J’ose prendre ma lace…) lire des livres (La naturopathie pour le nuls, il faut bien commencer par le début…), participer à quelques challenges : #HealthyJanuary

– Explorer plus avant mes futurs sujets de prédilection (teasing !)

– Appliquer sur moi-même et mon entourage proche mes 1ers enseignements

– Créer le journal de bord de cette reconversion sur un nouveau compte Instagram : @holivalerie et lire des centaines de publications sur le sujet du bien-être – Etc…..

 

… Envies confortées !