Le choix de l’école… vaste “dit l’aime”
Je ne pensais pas conclure cet article de mars en vous annonçant que j’avais choisi ma future école de naturopathie… Et pourtant…
Comme je vous l’ai raconté le mois dernier, j’avais sélectionné 4 écoles reconnues pour leur sérieux : le Cenatho, Isupnat, Euronature et l’INH.
Je me permets une rapide digression pour dire qu’en matière de formation à la naturopathie, on trouve vraiment tout et n’importe quoi et que c’est quand même assez flippant vu qu’il est question de santé ! Et qu’on peut faire beaucoup de mal avec un usage inadapté d’une huile essentielle, ne serait-ce que pour prendre un exemple qui parle à tout le monde.
Bref ! J’ai donc déposé des dossiers et passé des entretiens, j’ai parlé avec un grand nombre d’élèves ou anciens élèves… Plus j’échangeais, plus j’étais tiraillée !!! Chacun.e me vantant les mérites de telle ou telle école, ainsi que ses zones d’ombres…
Et tous.tes de me dire “suis ton coeur” !!
Pour faire mon choix, je me posais plusieurs questions :
- une école certifiée FENA, ou pas ?
- un cursus intensif, ou pas trop ?
- une pédagogie faisant la part belle au présentiel, ou pas ?
- un focus fort sur l’anatomie et la physiologie ? Sur l’énergétique ? Sur la psycho ?
- la part dévolue à la mise en pratique
- une entrée en formation plus ou moins tardive
- le coût
- etc…
Une rentrée à l’automne 2022 me paraissait trop lointaine pour mener à bien mon projet… mais les sessions du printemps étaient complètes … Je rongeais mon frein !
Mais, la vie a encore bien fait les choses puisqu’ Euronature a ouvert une session supplémentaire et qu’une place s’est libérée au Cenatho… Toutes les deux pour le mois de mai.
L’heure du choix, cornélien, venait de sonner ! Avec des ados à la maison heureux de me dire que ça ne sert à rien de trop bien travailler car après on a l’embarras du choix… et que c’est compliqué !
Des jours à cogiter pour finalement trancher en faveur du Cenatho, pour sa renommée, son approche énergétique et psychologique et son rythme certes très intensif mais a priori raisonnable, à raison de 3 jours par semaine pendant 16 mois.
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