Devenir naturopathe #4

constitution digitale

C’était la rentrée…

Le mois dernier, j’ai donc repris le chemin de l’école avec mes petites affaires toutes neuves ! C’était à la fois excitant et stressant.

4 semaines de cours déjà, même si ce sont des petites semaines de 3 jours sur 7 en présentiel à l’école, et je vais vous dire : heureusement !

Ce que nous apprenons au Cenatho, pour le moment, est absolument passionnant et personnellement très impliquant. Je ne regrette pas ce choix une seconde.

On a bien sûr commencé par les fondements historiques, philosophiques, etc, de la naturopathie puis nous sommes passé.e.s aux bases du bilan vital, en n’omettant pas la biochimie de la cellule… J’ai donc fait d’énormes progrès en matière de vocabulaire scientifique et j’attends les prochaines parties de scrabble avec impatience !!

Je commence à bien cerner les constitutions hippocratiques, les tempéraments naturopathiques, les digito glyphes et j’en passe. Je sais, c’est un peu abscon dit comme ça, mais globalement ça nous permet d’analyser votre “terrain” et donc vos forces et vos fragilités physiques, psychologiques, etc.

Pour celles et ceux que ça intéressent de savoir s’ils sont sanguin, bilieux, nerveux, lymphatique, en rétractation ou en dilatation, mobile, penseur, réalisateur ou sédentaire, etc…, j’ai besoin de cobayes, mais ça ne fait pas mal !

J’ai aussi appris les bases des massages bien-être et de la relaxation guidée… Et là tout de suite, je vous vois venir, bande de petits cobayes volontaires !

Indépendamment des savoirs dispensés à assimiler peu à peu, deux choses viennent me nourrir
Tout d’abord et cela est la moindre des choses, je vais devoir tester sur moi même ce rééquilibrage du terrain prôné par la naturopathie… ce qui promet de bien belles expériences ! La douche froide le matin par exemple, vous voyez l’idée ?!!

Ensuite, nous sommes 30 femmes réunies là, en reconversion, chacune avec sa vie professionnelle d’avant, ses motivations de changement, son histoire de vie, son âge (de 23 à 56 ans)… Cela donne une richesse très motivante.

J’en profite toutefois pour dire que si cette promo avait accueilli quelques hommes cela aurait été tout aussi bien ! Comme je l’ai dit en classe, la sororité, exclusive du masculin, souvent incarnée par le mot “sorcière” que l’on voit fleurir en tête de gondole et sur les réseaux sociaux, comme parangon de la libération de la femme, ne me parle pas. On peut avoir envie d’être libre et forte et regretter des siècles de domination masculine sans faire la guerre aux hommes d’aujourd’hui d’autant que beaucoup ne sont pas si cons que ça…

… vivent les vacances !